L’HISTOIRE DU GROUPE
Concessionnaire automobile implanté dans le Loiret depuis plus de cent ans, Basty Automobiles est une entreprise familiale qui a su évoluer et se diversifier avec son temps. Le groupe est présent aux quatre coins du Loiret avec des concessions Renault, Nissan et Dacia à Montargis, Gien, Pithiviers, Fleury les Aubrais et un point relais à Sully sur Loire.
À l’origine de cette aventure, 5 générations de la famille Basty. Aujourd’hui, le groupe se tourne vers l’avenir en accueillant et favorisant au maximum les mobilités vertes : électrique, GPL, hybride, hybride rechargeable… Nous sommes prêts !
Mais pour en arriver là, l’entreprise Basty Père & Fils a connu de nombreuses évolutions. Découvrons l’histoire de cette passion pour l’automobile de père en fils.
[1913-1948] Paul Basty maréchal-ferrant
L’histoire Basty Automobiles débute en 1913 lorsque Paul Basty, maréchal-ferrant, se lance dans la réparation des toutes premières autos dans son atelier de Châtillon-Coligny. Le garage Becquerel est le tout premier local destiné à l’entretien des automobiles du groupe Basty. C’est Robert, fils de Paul, qui met le pied à l’étrier en ouvrant ce garage non loin de l’atelier de maréchal-ferrant de son père à Châtillon-Coligny.
[1948-1955] « Basty père & fils » les premiers pas sous l’enseigne Ford
En 1948, Robert Basty et son fils, Jacques, s’associent et ouvrent le premier garage BASTY Père & Fils. “Le garage de l’Avenue” situé à Montargis, avenue du général de Gaulle, fait ses débuts sous le panneau Ford.
[1955-1970] Le tournant SIMCA
En 1955, Jacques Basty se tourne vers une marque qui a le vent en poupe : SIMCA. Les ateliers du garage de l’avenue sont mis aux normes et affichent un vrai modernisme pour l’époque. Cette période sera riche en évènements plus atypiques les uns que les autres, ce qui fera la notoriété de l’entreprise BASTY Père & Fils.
[1970-1982] Chrysler, Talbot, le changement au cœur de l’entreprise
En 1963, Jacques Basty quitte le garage de l’Avenue pour faire construire une nouvelle concession, sur la N7, non loin de la gare de Montargis. De 1970 à 1982, le panneau SIMCA passe successivement sous le nom de Chrysler puis Talbot.
[1982-1990] Renault, un choix porteur
En 1982 une réflexion est entamée pour trouver la marque qui succédera à Talbot dont la distribution touche à sa fin en France. Le choix se porte sur la marque au losange, Renault. Petit à petit Jacques et Jean-Luc Basty, son fils, initient des travaux de modernisation de la concession. Cette époque sera marquée par l’association du nom Basty à Renault, « Renault Basty » qui aujourd’hui encore reste très présent dans l’esprit collectif.
[1990-1991] 1400 avenue d’Antibes à Amilly : un pari réussi
1990 : l’année du changement. A l’étroit dans la concession de Châlette-sur-Loing, Jacques Basty investit dans une zone commerciale en devenir : l’avenue d’Antibes. Avec comme seul voisin l’hypermarché Leclerc, Jacques imagine une concession, tournée vers le rond-point, aux multiples façades, dans l’idée d’accueillir, à l’avenir, de multiples marques.
[1991-2002] La naissance d’un groupe
Les années 90 et 2000 sont synonymes de développement pour le groupe Basty tant au niveau géographique que commercial. Jacques et Jean-Luc Basty font l’acquisition de Renault Reverdy à Gien. Une opportunité se présente sur Sully sur Loire, une agence Renault y est alors implantée. L’expansion continue avec l’acquisition en 2002 de Beauce Gâtinais Automobile à Pithiviers.
[2002-2016] Nissan, Dacia, place au multimarquisme
Les années 2000 sont marquées par de nouvelles alliances au sein des constructeurs : rachat de la marque Roumaine Dacia et alliance avec Nissan. Le groupe Basty prend alors la décision, peu courante à l’époque, de regrouper les différentes marques au sein d’une même concession. L’expansion continue avec l’acquisition de Nissan Auto Val de Loire à Fleury les Aubrais.
[2016-2021] Basty Automobiles aujourd’hui
De nos jours le groupe Basty Automobiles continue de distribuer les marques Renault, Nissan et Dacia sur l’ensemble du Loiret. L’enjeu d’aujourd’hui est de s’adapter à la révolution verte, technologique et comportementale que représentent les nouvelles mobilités. Le pas est bien engagé.
